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European Business School

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L’EBS est l’école de la nouvelle économie. Sa formation se décline autour du concept EDIC : Entrepreneuriat, Digital, Innovation, Créativité.

Le projet de l’EBS

Au-delà des connaissances en management, les entreprises aujourd’hui nécessitent des savoirs concernant l’esprit d’entreprendre, les potentialités et les risques du digital, la capacité d’innovation technologique et sociale ainsi que le sens de la créativité.

C’est pourquoi la recherche de l’EBS est construite autour de la signature EDIC de l’Ecole : Entrepreneuriat, Digital, Innovation et Créativité. Ces quatre piliers irriguent les axes de recherche qui articulent le thème « Entreprendre dans une économie nouvelle ».

« La recherche aujourd’hui se développe au sein d’écosystèmes innovants, multiculturels et ouverts »

Angelo Riva – Directeur de Recherche EBS

Les axes d’excellence

Dans le cadre de sa politique de recherche et en lien avec sa mission, l’EBS a défini l’objet général de ses travaux autour de plusieurs thématiques.

    Entreprendre et organiser

    Les enseignants-chercheurs en management développent des travaux mettant en perspective les thèmes de l’entrepreneuriat, de l’innovation (dans les pratiques et dans les relations), des alliances et de la gestion des risques. Une première série de travaux de recherche porte sur le rapport aux règles et aux normes à travers des questions liées à la régulation et au cadrage normatif des pratiques. Une deuxième série de travaux porte sur les stratégies d’adaptation du manager et le bien-être du salarié face aux transformations de l’environnement de travail. Une troisième porte sur les alliances avec une mise en perspective de la confiance inter organisationnelle. Enfin, une série de travaux porte sur l’entrepreneuriat à travers des questions liées à l’intention d’entreprendre et aux facteurs individuels et culturels influençant l’acte d’entreprendre dans sa globalité.

    Consommer dans un environnement global et digital

    La nouvelle économie a amené les entreprises à repenser leurs stratégies marketing afin de toucher au mieux le consommateur en constante évolution. Par conséquent, observer et étudier le comportement du consommateur, permet aux chercheurs et aux entreprises de mieux identifier ses attentes et y répondre de manière pertinente, afin de lui assurer une expérience à forte valeur ajoutée. Les travaux menés dans ce champ tiennent compte, à la fois des lieux de vente, des technologies mobilisées et plus globalement de la démarche marketing à adopter. Ils portent sur de multiples approches de consommation, que ce soit au niveau de l’atmosphère de vente (travaux sur l’e-commerce et l’achat en ligne, ainsi que sur les émotions ressenties lors de l’expérience vécue, la personnalisation et la customisation), au niveau du produit (produit monastique, touristique, ou service financier) ou encore au niveau des dispositifs technologiques (Internet of Things, smartphones). Les travaux réalisés intègrent notamment la dimension expérientielle et émotionnelle de la consommation et du marketing. En ligne avec la thématique globale du laboratoire, certains travaux s’attachent également à la dimension entrepreneuriale du marketing.

    Financer et innover

    Les innovations financières, technologiques et règlementaires ont accentué la complexité des marchés financiers. Pour la comprendre, la disponibilité des données est un vecteur incontournable. L’innovation technologique permet la production, l’accès et l’analyse de données massives. L’analyse en longue période fournit des enseignements pour appréhender les contextes contemporains marqués par des crises fréquentes et une forte intégration des marchés financiers. Les travaux des enseignants-chercheurs en finance  analysent les nouvelles stratégies visant à consolider la performance financières et organisationnelle des entreprises et des banques, notamment à travers l’adoption de nouvelles technologies et les opérations de restructuration (fusions-acquisitions, privatisation, etc.). L’innovation a également induit des changements dans les habitudes de paiement des consommateurs : la substitution des moyens de paiement pose de nouveau défis aux systèmes financiers.  Les travaux portent également sur le rôle de la performance et des régulations dans le financement des entreprises, particulièrement des PME. Ils étudient aussi la performance des placements dans les fonds d’investissement en s’interrogeant sur la relation entre leur coût, leur qualité et le conseil. Par ailleurs, la performance peut être appréhendée non seulement dans une logique de marché, mais aussi dans une perspective sociétale à travers les formes alternatives de finance.

Le conseil scientifique

  • Présidente – Sophie Morin-Delerm – Université Paris Sud

  • Didier Chabaud – IAE Paris I Panthéon Sorbonne

  • Sihem Jouini – HEC Paris

  • Jérôme Maati – Université de Lille

  • Geraldine Michel – IAE de Paris Université Paris I

  • Sylvie Faucheux – Dean INSEEC U.

Membres associés